L?insatiable Nejma se livre au triolisme

L'insatiable Nejma se livre au triolisme
Après ses premières aventures avec Omar, Abdoulaye et Idrissa, il vint à l'esprit de Nejma un idée particulièrement originale pour une jeune fille africaine : vivre pour l'instant d'une seule nuit une expérience de triolisme. Elle espérait ainsi atteindre le sommet du plaisir des sens en s'offrant ainsi en même temps à deux hommes.

Dans un pays comme le sien où la polygamie était l'apanage des hommes seuls, pourquoi ne pas tenter l'expérience inverse ne serait-ce que par défi : la polyandrie. Elle prendrait ainsi non seulement une revanche sur la tradition, mais surtout sur les hommes qui ne voient dans la femme qu'un simple objet de plaisir.

Des hommes qu'elle avait connus, elle avait repéré deux étalons remarquables qu'elle pouvait soumettre à son fantasme lubrique hors tradition. C'est à l'occasion de ses vingt-cinq ans qu'elle choisit de s'offrir un tel luxe. Elle invita Abdoulaye et Idrissa ses deux meilleurs amants pour une partie de plaisir à trois et dont elle serait la reine. Et quoi de plus excitant pour une fille éduquée dans la soumission la plus totale à l'homme que de se payer les charmes de ses deux meilleurs amants dans une aventure érotique dont elle aurait toute la maîtrise des opérations ?

Elle décora du mieux qu'elle pût sa chambre ; elle fixa aux murs les posters les photos de stars les plus provocantes et les plus suggestives. Elle s'offrit même le luxe de placer au pied de son lit une glace gigantesque où l'on pouvait observer à loisir les détails de ses propres ébats. Elle téléphona alors à ses deux hommes et s'allongea sur son lit pour s'offrir quelques minutes de repos et se préparer l'esprit à ces agapes priapiques d'un style nouveau.

Le premier coup de sonnette annonça l'arrivée d'Abdoulaye. Nejama portait une robe de gaze rose vaporeuse qui laissait voir toutes les formes de son corps. Après lui avoir ouvert elle se laissa choir dans les bras de son dernier qui l'accueillit d'un flot de baisers. Il la déposa ensuite au milieu du grand lit. A travers la robe vaporeuse, les seins de Nejma pointaient à rompre la gaze. Abdoulaye y porta les lèvres et sans chercher à la dévêtir, se mit à mâchouiller les pointes. Ses lèvres enrobèrent totalement les aréoles des seins et de ses gencives, il en pinçait les pointes comme pour en extraire le nectar du plaisir.

Nejma poussait de légers gémissements à mesure que les succions se faisaient plus mordantes. Elles devinrent si insistantes et si précises que les pointes émergèrent de petits trous de la gaze.

Pendant ce temps, Nejma d'une main leste finissait de rompre les boutons de la chemise d'Abdoulaye. Elle dévêtit complètement la poitrine d'Abdoulaye et de la ponte de sa langue se mit à dessiner des arabesques sur son corps en vue de l'exciter. De ses dents, elle titillait les pointes de ses seins d'homme. L'autre main évoluait progressivement en direction de du pantalon où grossissait à vue d'?il un forme protubérante. Elle glissa les doigts dans le pantalon et empoigna une massue fort agile qu'elle tenta d'apprivoiser. Elle réussit à défaire la boucle de la ceinture et la tirette du pantalon d'où jaillit la bitte agile comme un serpent en cage. Sa tête plus large et violacée s'agitait dans tous les sens comme excitée par la flûte d'un charmeur de naja flûte. Nejma porta ses lèvres à la tête violacée de l'objet vivant et l'engloutit entièrement. Elle sentait cogner aux parois de sa gorge le méat de la bitte qu'elle pinçait de ses gencives. Sa langue râpeuse coulissait le long de la verge dont les veines noueuses grossissaient à éclater.

Le vit d'Abdoulaye s'enfonçait progressivement dans la gorge de Nejma, cognant les parois et grossissait à chaque poussée du méat qui soudain explosa dans la glotte en salves sonores de sperme. Le liquide âcre et visqueux disparut dans la gorge de la fille à la suite d'un déglutissement mécanique. Puis apaisé, le vit ressortit de la bouche de Nejma tout mou et flasque dégorgé de toute l'énergie qui le faisait vibrer. Abdoulaye se retira dans la salle de bain pour faire une toilette et s'humecter d'une eau fraîche qui le revigore.

Pendant que ce dernier était aux toilettes, une sonnerie nouvelle retentit. C'était sans doute le deuxième étalon qu'attendait Nejma qui participât à ses agapes trioliques. Sans prendre le temps d'arranger sa robe, la jeune fille bondit du lit et se jeta dans les bras du nouvel arrivant. C'était Idrissa. A la vue de son accoutrement et de son corps déjà offert, ce dernier la souleva du sol et la déposa dans le lit défait. Et sans attendre qu'elle se dévêtisse, il souleva le bas de sa robe et y enfouit sa tête. De ses dents il mit en lambeaux les sous-vêtements et tel un pourceau truffier, il labourait la chatte de la fille. Sa langue râpeuse fourrageait autour du bouton d'or comme pour l'arracher de son socle. Les coups de langue innervèrent le clitoris de Nejma. Et comme sous l'effet d'une décharge électrique, elle émit un hurlement de bête qui résonna jusque dans la salle de bain. Croyant à l'appel de la jeune fille qui se masturbait seule, Abdoulaye ressortit tout nu des toilettes pour un nouvel assaut. Il tenait en main son bracquemard auquel il voulait donner des proportions plus respectables. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant un homme au pied du lit de sa belle, la tête enfouie dans sa robe.

Il en perdit les moyens et d'un mouvement brusque il s'enfuit dans les toilettes. C'est alors que Nejma l'appela le priant de venir. Il s'habilla prestement et ressortit des toilettes et cherchant à s'enfuir. Nejma se jeta à ses pieds en le suppliant. Elle les présentèrent l'un à l'autre.

« Mon cher Abdoulaye, je te présente Idrissa. Mon cher Idrissa, je te présente Abdoulaye. Vous êtes tous deux mes seuls amants et je nourris pour tous deux la même affection et je ressens le même attachement. A l'occasion de mes vingt-cinq ans, j'ai décidé de vous réunir pou partager ensemble le bonheur que chacun de vous m'apporte. J'ai rêvé d'un plaisir singulier que j'ai décidé réaliser aujourd'hui : découvrir et vivre avec mes meilleurs amants une situation conjugale originale, le plaisir à trois appelé aussi triolisme. En tant qu'hommes, vous avez l'habitude de la polygamie, en tant que femme j'ai rêvé de vivre ne serait-ce que l'espace d'un instant l'expérience de la polyandrie. Je vous désire tous deux et souhaite qu'en cet instant vous acceptiez de m'honorer de vos charmes les plus ardents de la façon que je vous indiquerai. Pas de jalousie ni de dispute entre vous mais une saine émulation pour me combler de bonheur. C'est le plus beau cadeau d'anniversaire que j'attends de vous pour mes vingt-cinq ans. ».

A ces mots les deux hommes s'arrêtèrent pétrifiés. Habitués à profiter des femmes selon leurs plus beaux fantasmes, il comprenaient difficilement qu'une femme ressentît un jour le même désir qu'eux et qu'elle leur proposa de le réaliser sur-le-champ et sous sa conduite. Cela dépassait totalement leur entendement d'hommes et de mâles africains.

Joignant le geste à la parole, Nejma se leva du lit et tenant Idrissa par la main, elle le conduisit vers Abdoulaye. Elle se mit à leur prodiguer des caresses à tous deux au niveau de la bosse que formaient leurs pantalons. Elle en attrapa les boucles qu'elle défit d'un coup sec. Elle actionna les tirettes et découvrit leurs deux bracquemards qui se dressèrent en un seul mouvement. Les deux hommes demeuraient toujours figés, mais leurs vits parlaient en leur nom du consentement aux désirs de Nejma. Nejma commença à les masturber l'un après l'autre.

Elle saisit dans la bouche la bite d'Idrissa qui paraissait moins vigoureuse et de l'autre main, elle caressait celle d'Abdoulaye. Elle changea de position. Elle Offrit ses lèvres à la pine d'Abdoulaye pendant qu'elle maintenait par des caresses manuelles celle d'Idrissa dans une position respectable. L'ardeur de Nejma à la tâche sortit les deux garçons de leur torpeur et les convainquit qu'il ne s'agissait pas d'un rêve. Ils vivaient en réalité une aventure sexuelle extraodinaire.

Abdoulaye fut le premier des deux qui prit des initiatives. Il empoigna les seins de Nejma et y plaqua sa bouche vorace. Enhardi par son compagnon qui lui faisait des clins d'?il, Idrissa se coula vers la chatte de Nejma dont les poils se confondaient alors avec sa barbe. Sa bouche totalement engloutie par l'antre chaude de Nejma y produisait des clapotis sonores. Du vagin de la fille se répandait sur le vis